Pedro Da Mota Carvalho : à l’école de la persévérance et de la passion

26 mars 2020

 news René Mathez

Inside

Il est entré en stage chez René Mathez SA en 2015. Et depuis, Pedro Da Mota Carvalho ne cesse d’apprendre, sur les chantiers et à l’école, toujours guidé par sa passion du métier. Actuellement, il suit une formation pour devenir chef d’équipe avant, éventuellement de passer un diplôme de contremaître. Portrait en cinq questions d’un jeune homme plein d’avenir.

R.M. Comment avez-vous débuté chez René Mathez SA ?
P.D.M.C. Je suis arrivé du Portugal à l’âge de 16 ans. Mon père travaillait sur le chantier d’une villa à Genève, pour une entreprise de Neuchâtel. A sa demande, le contremaître m’a accepté comme manœuvre dans son équipe. Le chantier a duré plus d’un an et à 17 ans, je me suis donc retrouvé au chômage. Je voulais continuer dans ce métier, mais je n’avais pas de diplôme et je ne parlais pas encore très bien le français. Alors, j’ai d’abord fait des petits boulots pour gagner ma vie. J’ai étudié pour perfectionner mon français et pour passer les tests EVA. J’ai ensuite cherché un stage pour pouvoir entrer en CFC (Certificat Fédéral de Capacité, ndlr). Je n’ai pas mis longtemps à trouver une entreprise pour mon alternance, car René Mathez SA se trouvait tout près de là où nous habitions. Ils ont tout de suite accepté ma demande.

Comment s’est passée cette formation chez René Mathez SA ?
Entre 2015 et 2018, je passais quatre jours sur les chantiers pour la pratique et une journée à l’école pour apprendre la théorie. Mon référent, Patrick Zocaratto, a toujours pris le temps de tout m’expliquer. Dans son bureau, il m’aidait pour mes rapports journaliers, les dessins de chantier… C’est un très bon contremaître, qui encadre maintenant un autre jeune apprenti. J’ai beaucoup appris avec lui… et j’apprends encore.

En quoi consiste votre travail aujourd’hui ?
Sur le chantier, je suis généralement sur l’installation des éléments préfabriqués en usine. J’aime la précision que demande ce travail. Tracer la dalle, poser les préfabriqués, faire un coffrage type 4… : ce sont des tâches très minutieuses pour lesquelles on travaille quasiment au millimètre près. C’est vraiment ce que j’aime dans mon métier, en plus d’être à l’air libre.

Selon vous, qu’est-ce qui fait la différence entre René Mathez SA et les autres entreprises de construction ?
La très bonne ambiance ! Il y a du respect entre collègues, ce qu’on ne trouve pas forcément ailleurs. Dans toutes les équipes, l’ambiance est familiale. D’ailleurs, mon père et mon oncle travaillent aussi dans l’entreprise. L’équipe du bureau est aussi parfaitement à l’écoute. Emilia, qui avait accepté ma première demande de stage, résout toujours les problèmes.

Comment envisagez-vous votre avenir dans ce domaine d’activité ?
En ce moment, je suis en deuxième année de formation pour devenir chef d’équipe. C’est toujours Patrick Zocaratto qui me forme. Ensuite, j’envisage de passer un diplôme de contremaître. Et même si Patrick part bientôt à la retraite, d’autres contremaîtres, tout aussi expérimentés, pourront m’encadrer. René Mathez SA est une très bonne entreprise pour faire un CFC, pour réussir ses études. Si on devait me demander où accomplir un tel apprentissage, je répondrais : venez chez Mathez !


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